Parce qu’avant tout il s’agit d’écoute.
Comme un changement de paradigme où il n’y aurait plus à résoudre quoi que ce soit,
où il y aurait juste à laisser la force de vie oeuvrer, chercher comment lui ouvrir la voie.
Et faire confiance. Fondamentalement.
Cette confiance comme force curative, de régénération. Comme vecteur de transformation.
Reconnaître la vie en posant les mains sur la personne qui vient et s’allonge sur la table,
Reconnaître qu’elle est bien plus puissante que notre volonté, bien plus intelligente que nos décisions ou nos jugements.
Reconnaître les surprises qui viennent et les dénouements soudains.
Reconnaître aussi les tourments.
Nous sommes des êtres de lien. Personnels, inter-personnels.
A partir d’un champ perceptif vaste et inclusif, à partir de notre présence et de l’espace de tranquillité qui peut s’y nourrir, nous pouvons ressentir cette interconnexion et percevoir, au-delà des conditions de la vie de la personne qui vient,
la Vie elle-même.
Et ce contact est un cadeau.
Et les transformations à l’oeuvre sont partout,
à chaque instant.